OriginesLa paleonthologieEvolution4 doigts3 doigts1 doigtLes proches 
A la suite des premiers résultats des études de Marsh et de ses collègues sur l'évolution du cheval, il s'est avéré que les ossements d'Amérique du Nord formaient le lien principal dans l'histoire du cheval. Les paléontologues américains ont amplement contribué à la reconnaissance de l'espèce.
 
En 1876, Marsh a nommé la nouvelle espèce fossile Eohippus. A cette époque, le cheval le plus ancien a été découvert dans les couches éocènes à l'ouest de l'Amérique. Celui-ci date du début du paléocène (55 millions d'années). Il a par conséquent le même âge que celui issu des couches argileuses de Londres. Durant le 20e siècle, des paléontologues anglais et américains ont comparé les fossiles du Hyracotherium d'Europe avec ceux de l'Eohippus provenant d'Amérique et ont conclu que ces deux noms représentaient une seule et même espèce.
 
En se basant sur les règles scientifiques approuvées, l'Hyracotherium d'Owen nommé en 1840, prime sur l'Eohippus de Marsh répertorié en 1876. Eohippus est cependant encore toujours utilisé comme nom vernaculaire pour désigner l'Hyracotherium.
De nombreuses expéditions ont été organisées pour explorer et collectionner d'importants fossiles qui ont été découverts et procurés aux musées en vue d'être étudiés par quelques paléontologues célèbres. Ces études paléontologiques avaient une très grande influence sur la reconnaissance de la théorie de Darwin sur l'évolutionnisme.
O.C. Marsh était un des célèbres étudiants de la seconde moitié du 19e siècle. Il était professeur de paléontologie à l'université de Yale et étudiait l'évolution du cheval. Les nombreuses expéditions vers l'Ouest qui étaient à la fois passionnantes et réussies, ont permis la constitution d'une des plus grandes collections de fossiles équins.
 
Pendant ses études, Marsh s'est fait assister par plusieurs scientifiques. Outre le riche potentiel humain, Marsh bénéficiait également de l'immense fortune privée qui lui a été léguée par son oncle. Il a investi une partie de cet argent dans la création du musée d'histoire naturelle Peabody de Yale, tandis qu'une autre partie a servi à financer ses nombreuses expéditions paléontologiques.
Les principales données sur l'évolution du cheval se basent sur les innombrables fossiles qui ont été retrouvés à l'ouest de l'Amérique.
 
L'histoire trouve toutefois ses origines en Angleterre pendant la première moitié du 19e siècle.
 
En 1840, le célèbre paléontologue anglais, Sir Richard Owen, était le premier à décrire une espèce de fossile équin qu'il a nommé Hyracotherium. Les restants de ce cheval qui ont été découverts dans les couches argileuses de Londres, datent de plus de 55 millions d'années.
 
Durant la seconde moitié du 19e siècle, les recherches scientifiques qui ont été menées en Amérique, ont conduit à la fondation de plusieurs musées d'histoire naturelle célèbres. La création de ces musées a fait accroître l'intérêt du public pour la paléontologie.
Eohippus
LE CHEVAL ET LA PALEONTOLOGIE
Loading
     ACCUEIL
     GALOP
     FILMS en streaming
     CONTACT
Vous et vos chevauxFilms / Reportages / ImagesHippologieTechniqueConnaissanceHistoireSon chevalSantéEducationEthologieDisciplinesServicesCommuniquez 
http://www.osteopathe-lacharitesurloire.fr/
Site réalisé par : Website-COMMUNICATION
Déclaré sous le numéro SIREN n° 752 069 385 00017
752 069 385 R.C.S Meaux
 
Copyright www.soncheval.com 2009 - 2016
Reproduction interdite