Des poulains chéris
Durant des siècles, ce cheval désert a surtout été utilisé et, bien sûr, apprécié par les bédouins, qui vivait en lisière du Sahara. Pour ses guerriers, un cheval vif, endurant et frugale était un auxiliaire sans prix. Il élevait donc avec le plus grand soin. Ils appelaient leurs juments leur fille et laissait des poulains pénétrés sous leur grand-tante pour qu'ils profitent de la fraîcheur. Leurs chevaux faisaient quasiment partie de la famille
Un des ancêtres d'andalous…
Selon certains auteurs, les Romains auraient déjà utilisé des Barbe, en particulier pour les courses de chars dans les arènes. Il est donc possible que les amateurs de jeux de cirque aient importé à cette époque, mais cela n'a jamais été prouvé. Plus tard, au VIIIe siècle, les Maures envahirent l'Espagne et amenèrent avec que quantité de chevaux Barbe. Comme souvent en pareil cas, certains s'échappèrent et vécurent en liberté . Leur croisement avec juments locales produisit l'amorce de la race andalouse (que d'autres 100 ont contribué à la suite a fixé)
… Et du pur-sang anglais
En 1662, Charles deux d'Angleterre, l'acier de courses de chevaux, reçu la dot de sa femme le port marocain de Tanger. Durant les 21 ans où la ville demeura sous sa domination, on expédia de la Grande-Bretagne, à partir d'elles, une grande quantité de chevaux Barbe ceux-ci furent utilisés pour améliorer la vitesse et la vigueur des premiers chevaux de course britannique. Le Barbe a donc été, avant l'arabe, un ancêtre du pur-sang.
Colonisations et chevaux
la domination française en Afrique du Nord a duré XIXe au milieu du XXe siècle la remonte la cavalerie, au Maroc et en Algérie, pour les spahis par exemple, et même en métropole, était alors constituée, pour une bonne part, de Barbe. En effet, ces chevaux possèdent toutes les qualités nécessaires au cheval d'armes : ils sont rapides, maniable, rustique et endurant (donc économique).
Origine inconnue
si l'on connaît l'origine géographique du Barbe, en revanche une que dire quand il est apparu en Afrique du Nord. Si l'on s'en tient aux récits et aux légendes, il semble que ce cheval est toujours été présent aux côtés des hommes de sa région d'origine.
Type et tempérament
Elevé dans un pays semi aride, à l'application pauvre, le Barbe est pour le moins rustique. Habitués à évoluer sur l'état rocailleux et pentu des monts de l'Atlas, il a le pied très sûr. Ses qualités, et bien d'autres, en font une monture résistante, agréable à ses polyvalentes
Modèle
la tête est plutôt longue, avec un profil rectiligne, de larges naseaux et des ganaches prononcées. L'encolure est forte et rouler et le garrot ont placé. L'épaule est longue et plus ou moins inclinée, la croupe avalée et là que portait bas le poitrail est parfois étroit. Les membres sont longs efforts, bien musclé, avec des canons relativement longs.
Taille
Elle varie de 1,40 m à 1,57 m.
Robe
Alezane, alezan brûlé, bai foncé, noire ou grise.
Caractère
ce n'est pas sans raison que les guerriers bédouins chérissaient le Barbe. Ce cheval courageux affrontait vaillamment aussi bien les Tohu-bohu de combat que les longues retraites. Au cours de se chevaucher, qui était parfois longue, la rapidité des Barbe a bien souvent sauvé la vie de leurs maîtres. En outre, il est intelligent, parfois un peu malicieux, avec une personnalité généralement prononcée. Et, s'il n'a pas toujours bon caractère, sa gentillesse est bien réelle.